Pour l’hôtellerie de plein air, Allianz a conçu un contrat cadre avec des garanties socles auxquelles peuvent s’ajouter des garanties optionnelles. Exemple en Charente-Maritime.
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Variée et accessible à tous, l’hôtellerie de plein air est en plein boom. Avec 8 256 campings, du simple emplacement aux clubs de vacances 5 étoiles, la France détient le leadership en Europe. Il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses (de 30 € la nuit pour 2 personnes sous tente à 150 € la nuit pour 5 en mobile home). Ces campings appartiennent à de grands groupes hôteliers tels qu’Accor ou sont la propriété de particuliers. Selon Jean-Baptiste Dagréou, président de la Fédération départementale de l’hôtellerie de plein air de Charente-Maritime (FDHPA 17), à la tête de 5 campings, « 80 % sont gérés par des acteurs locaux. Aucune formation et diplôme ne conduit au métier d’exploitant de camping, très complexe et multitâches. Le gérant est à la fois commercial, gestionnaire, bricoleur et communiquant. De plus, il doit suivre les évolutions réglementaires. Ces établissements étant ouverts au public, toutes les installations doivent être aux normes. Nombreux sont ceux à vouloir l’embrasser mais beaucoup s’y cassent les dents ! Le chiffre d’affaires dépend de la surface du terrain, du nombre de places, de la situation géographique, du confort et des loisirs proposés… Pour vous donner une idée, un camping de 2 ha avec 100 places, proche de l’océan, générera 250 K€ annuels ». Certains fonctionnent comme le Club Med avec plusieurs bars, restaurants, complexe sportif, discothèque, épicerie, salon de coiff...