Voilà dix-huit mois qu'Allianz France a lancé l'écosystème Ma mobilité, une communauté de 120 personnes pour répondre aux enjeux de mutations des mobilités, qu'il s'agisse de l'émergence de nouveaux modes de déplacement ou des transformations profondes et impactantes liées à l'automobile. Un projet pilote à l’époque qui a porté ses fruits. « Nous avons réuni sur un même espace toutes les personnes qui travaillent sur la mobilité pour appliquer des méthodes qui favorisent le collectif et la transversalité », explique Delphine Asseraf, directrice de l'écosystème Ma mobilité chez Allianz France.
Objectif : maximiser l'engagement des collaborateurs pour pouvoir comprendre très vite les tendances du marché, en avoir la bonne lecture, et lancer sans attendre de nouveaux produits et services. « Le monde de l'assurance n'échappe plus au besoin d'instantanéité, de réponse à des styles de vie et des nouveaux usages qui émergent. Nous nous sommes mis en capacité de fédérer toutes les visions (IT, commerciale, juridique, actuarielle…) parfois complexes d'un même sujet pour apporter des réponses rapides », détaille Delphine Asseraf. Organisée en « squad », à savoir des petites équipes d'une dizaine de personnes, Ma mobilité représente 1,8 Md€ de chiffre d'affaires pour 4 millions de véhicules assurés et porte également des partenariats avec des start-up comme Drivy ou Cityscoot. Une organisation concluante qui a convaincu Allianz France d'aller plus loin. En 2018, l’assureur a ainsi lancé cinq autres écosystèmes : Ma santé, Mon avenir, Mon activité, Ma construction et Ma vie quotidienne.