Qu’est-ce qui vous a poussé à devenir agent général ?
Après plusieurs années comme salariée du groupe Allianz, j’ai voulu quitter l’univers corporate pour mener à bien un projet concret. J’avais besoin de travailler pour moi, avec la volonté de réussir ce que j'allais entreprendre. J’avais déjà l’idée de devenir agent général il y a dix ans, mais c’était trop tôt. Au milieu de l'année 2015, j’ai donc réactivé mes contacts pour savoir si des portefeuilles se libéraient ou si des agents généraux étaient vendeurs. Accompagnée par mon associé et ami Mickael Krakovich, nous avons alors établi un business model de rachat de portefeuille que nous avons travaillé avec Allianz, le côté indépendant de la profession et le lien avec un groupe que je connais bien me paraissant avoir du sens.
Après avoir passé tous les tests et suivi la formation Sales Academy Allianz France (SAAF), nous avons eu l’occasion de reprendre deux portefeuilles d’agents parisiens partis à la retraite, un en janvier 2015 et un autre en septembre 2015. Au 1er avril 2016, nous avons donc repris deux agences (une principale située boulevard Haussmann et une plus petite située rue de Turenne) pour lesquelles il y avait une gestion intérimaire.
Votre implantation et votre portefeuille vous conviennent-ils ?
C’était une volonté de ma part d’être sur Paris, d’abord parce que je suis proche de mon lieu d’habitation et surtout parce que je suis à proximité de mon réseau. À la reprise de l’agence, vous héritez du portefeuille tel qu’il est, avec le passif social de votre prédécesseur (l’équipe de collaborateurs en place). La situation...