Thierry Monnier, directeur commercial Thélem assurances
Nos 268 agents ont un mandat d’exclusivité avec la possibilité de placer des affaires en courtage si, et seulement si, celles-ci ne rentrent pas dans le champ de souscription de Thélem assurances. Ce courtage a bien vocation à rester accessoire et doit représenter moins de 10 % de leurs commissions. Dans les faits, compte tenu de l’offre large que nous développons, les agents placent en moyenne moins de 5 % des affaires en courtage. Celles-ci sont issues pour moitié des codes ouverts directement par les agents et pour une autre moitié de la structure Interfin courtage du groupe. Il s’agit essentiellement d’assurance vie ou de risques aggravés. Si l’agent ne peut pas répondre à la demande du client au travers des offres de Thélem assurances, il fait appel à Interfin courtage, qui lui apporte la solution, lui permettant de fidéliser ses clients. Le courtage accessoire est peu utilisé pour les risques d’entreprises, car nous sommes tournés vers les artisans, commerçants, professions libérales et petites entreprises.
« Nous avons signé un partenariat avec Xenassur sur les risques de particuliers »
Dominique Brevet, directeur commercial Gan assurances
Comme toute compagnie, notre relation avec les 975 agents généraux de Gan assurances repose sur un principe d’exclusivité. Toutefois, le mandat autorise le courtage accessoire sous certaines conditions, notamment pour placer les risques résiliés, ceux que nous refusons, que nous ne pratiquons pas ou ceux que nous ne souscrivons pas en totalité. Selon une enquête que nous réalisons tous les trois ans auprès de nos agents sur cette pratique, ils réalisent en moyenne 6...