Chargeuses, tractopelles, rouleaux compresseurs, grues… Les entreprises du BTP possèdent du matériel coûteux, soumis à rude épreuve sur les chantiers, qu’il convient de couvrir contre tout un éventail de risques.
Tous les enfants rêvent de manipuler les engins de chantier qui façonnent nos villes. Mais ils ne sont pas les seuls à les convoiter. Le vol de ces engins mobiles non routiers, dont les prix vont de 30·000 € pour une mini pelle, jusqu’à plusieurs centaines de milliers d’euros, sont en constante augmentation. Il est donc important pour les 8 000 entreprises de TP et les 45 000 œuvrant dans le bâtiment de les assurer pour tous les risques auxquels ils peuvent être exposés. Ces engins peuvent subir de la casse sur les chantiers, mais aussi lors de leurs déplacements sur route. « Des dommages couverts par l’assurance multirisque engin, aussi appelée bris de machine », précise Michel Bailleul, directeur des opérations chez l’Auxiliaire, spécialiste des risques du secteur de la construction. Si cette couverture est un socle, les possesseurs d’engins peuvent aussi se prémunir contre les risques externes, tels que les événements climatiques ou les catastrophes naturelles, contre les incendies d’origine externes, les bris de glace ou la perte d’exploitation, se couvrir contre les frais supplémentaires qu’ils pourraient avoir à engager pour louer un engin de remplacement pendant la durée d’immobilisation de celui en réparation. Des assurances complémentaires proposent d’être indemnisé en valeur à neuf, etc. Pour répondre aux nouveaux besoins, l’Auxiliaire propose depuis juin une assurance destinée aux possesseurs d’engins élect...