Jean-François Tripodi, directeur général de Carte blanche partenaires
«Vu la taille de notre réseau, pas d'ambiguïté : l'assuré va presque toujours chez l'un de nos opticiens partenaires, parfois sans le savoir ; il sera de toute façon reconnu et accédera aux avantages Carte blanche. La conjonction de cette fréquentation très élevée - nous frôlons les neuf achats sur dix en optique -, du modèle de sélection des verres à partir de la prescription et de tarifs plafonds déterminés référence par référence, fait l'économie. Nous refusons le principe de bonification de remboursement dans nos réseaux, et nos partenaires assureurs santé ne le pratiquent pas. Ils ne peuvent inciter leurs assurés à aller chez un opticien Carte blanche que sur la base de la qualité des verres, des tarifs inférieurs de plus de 30 % et des services spécifiques offerts dans le réseau. Un courtier gestionnaire ne peut proposer Carte blanche à tout son portefeuille qu'en s'engageant à proposer Carte blanche de manière exclusive. Celui qui travaille avec toutes les plates-formes ne peut proposer Carte blanche que si l'assureur fait partie des clients partenaires Carte blanche.»
Bruno Céron, directeur général adjoint d'Harmonie mutuelle
«Malakoff Médéric et Harmonie mutuelle ont décidé de créer Kalivia, car il n'était plus possible de laisser dériver les dépenses d'optique à des taux de l'ordre de 10 à 12 % par an. Chez Harmonie mutuelle, cela se traduisait par une dérive continue du reste à charge des adhérents, tandis que chez Malakoff Médéric, cela se traduisait plutôt dans la sinistralité. Harmonie a mis en place une bonification...