« Depuis 2009, notre approche relative à l’automédication repose sur la médication officinale et le rôle de conseil des pharmaciens, tiers éclairant pour conseiller les assurés. Grâce à une charte élaborée avec le Collectif national des groupes de pharmaciens d’officine (CNGPO), nous avons d’abord élaboré un guide du conseil pharmaceutique portant sur les symptômes et les médicaments retenus pour l’automédication.
Aujourd’hui, notre forfait pour l’automédication intègre des médicaments non remboursés, l’ergothérapie, les psychothérapies, mais également des médecines douces comme l’homéopathie, l’ostéopathie. La consommation de ce forfait correspond à plus de 4 % des remboursements de la complémentaire en assurance collective et un peu moins de 3 % en assurance santé individuelle. Bien que modestes, ces parts de dépenses progressent fortement ces dernières années avec une croissance de 15 %. C’est pourquoi nous proposons à nos assurés des services complémentaires afin de les aider à s’orienter et à prendre leur décision, comme l’application Automed relative aux informations des médicaments délivrés sans ordonnance.
Nous étudions actuellement l’intégration de l’étiopathie et de la luminothérapie en nous appuyant sur les publications et l’évaluation par notre pool de médecins. Incontestablement, les assurés manifestent leur volonté de prendre leur santé en main. Enfin, grâce à des partenariats avec des professionnels de santé et via Santéclair, nous proposons depuis le 1er...