Avec une note de 20 pages à paraître début septembre, l'Apref compte bien faire entendre la position des réassureurs privés du marché français. Une position très attendue par les parties prenantes, comme EDF et le CEA (Commissariat à l'énergie atomique), au moment où s'engage le transfert au privé d'une part significative du risque nucléaire. L'Apref s'attache notamment à disséquer l'organisation et les capacités financières de la trentaine de pools de mutualisation du risque nucléaire à travers le monde, comme Assuratome en France.
La bombe de l'Apref
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