Selon (EF EPI), le secteur de l'assurance et des services financiers enregistre un niveau allant de faible à moyen.
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En 2016, la France aurait gagné 2,49 points par rapport à 2015 en ce qui concerne sa maîtrise de l’anglais, passant de 51,84 points à 54,33. C’est ce que révèle la 6e étude sur l’indice de compétence en anglais d’Education First (EF EPI), société spécialisée dans l’enseignement des langues, les programmes académiques et l’expérience culturelle. Sur 72 pays analysés, la France occupe le 29e rang et se situe en queue des pays européens. Les Pays-Bas, le Danemark et la Suède caracolent en tête. Mais le pays affiche tout de même l’une des plus fortes progressions de niveau en anglais au même titre que le Qatar et Singapour. C’est encourageant. En termes de régions, l’Ile-de-France affiche le niveau le plus élevé. Il est moyen dans le Centre et faible dans les grandes villes du Sud. En termes de sexe et de profil, les femmes parlent généralement mieux l’anglais que les hommes et les jeunes adultes de 18-25 ans ont un meilleur niveau que leurs aînés. « Il faut que cette tendance à la hausse des compétences linguistiques se renforce dans les années à venir, insiste Minh N. Tran, directeur de la recherche chez EF. Car la capacité à travailler dans cette langue offre des opportunités et accroît l’employabilité. »
EF s’intéresse aussi au niveau d’anglais dans les entreprises. Pour la troisième fois, elle a examiné l’anglais de plus de 2 000 sociétés de 16 secteurs d’activité dans 40 pays. Les résultats sont étonnants. Ainsi, le secteur logistique pourtant fortement exposé à...