(AOF) - Alors que la santé mentale est érigée comme la grande cause de l’année 2025, Axa prévention publie une étude exclusive sur l’état de la santé mentale des Français en collaboration avec le Professeur Michel Lejoyeux, chef de service et professeur de psychiatrie et d’addictologie à l’Université Paris Cité. Engagée depuis 2021 dans la prévention en matière de santé mentale, Axa prévention a utilisé pour la première fois le GHQ-12, auto-questionnaire d’évaluation des troubles psychiques ressentis, un outil de référence reconnu et validé par le corps médical à l’international.
Si 91% des Français estiment qu'ils vont bien voire très bien (65%) ou "à peu près bien" (26%), l'étude Axa prévention révèle qu'1 Français sur 3 fait l'objet d'une suspicion de souffrance psychologique selon le GHQ12.
Tabou ou déni ? Sept Français sur dix n'iront pas consulter pour des symptômes tels que la fatigue, les problèmes de sommeil, le manque de confiance en soi et des difficultés émotionnelles.
60% des Français estiment qu'il est préférable de ne pas révéler qu'on est atteint d'un problème de santé mentale afin de ne pas être mis à l'écart.
"ll est urgent de renforcer la prévention afin d'aider au développement des bons comportements pour préserver leur santé mentale", fait savoir Axa prévention.
En outre, 62% des interrogés se disent intéressés pour suivre la formation "Premier Secours en Santé Mentale" (PSSM mise en place par PSSM France). Cette dernière permet notamment de former des secouristes capables de mieux repérer les troubles mentaux et d'adopter un comportement adapté (position, information, encouragement à aller voir un professionnel etc.).
Particulièrement sensible aux valeurs portées par PSSM France et à la formation Premier Secours en Santé mentale, Axa prévention propose ce dispositif gratuitement depuis 2022 aux salariés de TPE-PME. Cette année, la formation a été également proposée aux éducateurs familiaux de la Fondation Action Enfance, qui accueille et éduque les frères et sœurs en danger séparés de leurs parents sur décision des Juges des enfants.
