(AOF) - En 2024, les individus sont légèrement moins préoccupés par les aléas de la vie qu'en 2021, mais le niveau de 2019 n'a pas encore été retrouvé : tel est l'enseignement principal réalisé par BNP Paribas Cardif dans son étude intitulée : "Se protéger pour se projeter". Au niveau mondial, 79% des personnes interrogées se déclarent particulièrement préoccupées par les conflits internationaux, 76% par le dérèglement climatique et 75% par la baisse du pouvoir d'achat. En ce qui concerne plus particulièrement les aléas de la vie, la perte de revenus reste une source de préoccupation majeure
En ce qui concerne plus particulièrement les aléas de la vie, la perte de revenus reste une source de préoccupation majeure et concerne trois quarts de la population mondiale. La cybersécurité se classe en deuxième position au classement.
Avec l'éloignement de la crise sanitaire, les inquiétudes en matière de santé diminuent mais restent plus élevées qu'en 2019. En France, le sentiment d'être bien protégé est plus élevé qu'au niveau mondial : 72% en France vs 64% dans le monde.
En outre, la part de citoyens disposés à emprunter pour un projet immobilier retrouve presque son niveau d'avant la pandémie comme l'intention d'acheter une voiture.
La considération pour le crédit à la consommation reprend également notamment pour financer des travaux dans son logement ou pour partir s'installer dans une autre région ou un autre pays.
"Cette étude démontre que les besoins en protection demeurent en 2024. En tant qu'assureur, nous avons la capacité et le devoir de répondre aux préoccupations actuelles pour accompagner la reprise des projets individuels avec des solutions toujours plus simples, compréhensibles, accessibles et inclusives", déclare Pauline Leclerc-Glorieux, directrice générale de BNP Paribas Cardif.