(AOF) - La prévoyance reste essentielle pour se prémunir des aléas de la vie (incapacité - invalidité - décès) pouvant engendrer des répercussions sur leurs finances personnelles et la pérennité de leur entreprise avec un impact également sur leurs proches. D'après le sondage OpinionWay pour Swiss Life, réalisé en mai dernier, 4 dirigeants d'entreprises sur 5 craignent de ne pas pouvoir régler les frais généraux de leur entreprise en cas d'arrêt de travail. Et 3 dirigeants d'entreprise sur 4 se sentent vulnérables face à un événement de vie grave ainsi que 2 indépendants interrogés sur 3.
Selon ce sondage, 51% des dirigeants d'entreprise ne s'estiment pas assez couverts pour que leur entreprise puisse poursuivre son activité en cas de décès, 43% contre un arrêt de travail suite à un événement de vie brutal, et 41% à cause d'une maladie.
En outre, 56% des indépendants ne s'estiment pas couverts face à un événement de vie brutal et 54% en raison d'une maladie qui les obligerait à s'arrêter de travailler.
Ce déficit de couverture est plus marqué s'agissant de la poursuite de leur activité suite à leur décès : un indépendant sur deux (49%) se déclare pas du tout couvert face à cette situation. La famille ne semble pas davantage protégée : 44% seulement des indépendants (dont 14% seulement de oui, tout à fait) ont le sentiment d'être couverts s'ils ne peuvent plus subvenir aux besoins de leur famille.
Les chefs d'entreprises (incluant les dirigeants d'entreprise et les indépendants – quel que soit leur âge) se sentent vulnérables face aux aléas de la vie (incapacité - invalidité - décès) car ils ne sont pas suffisamment informés des options de garanties au sein d'un contrat de prévoyance qui vont au-delà des simples indemnités journalières (IJ).