(AOF) - MetLife France, spécialiste de la prévoyance individuelle et acteur historique de l’assurance emprunteur, dresse son bilan sur la loi Lemoine. Près de deux années après le vote de la loi (février 2022), et dix-huit mois après sa pleine application, MetLife démontre l’importance d’un cadre législatif qui a eu des conséquences visibles sur le marché de l’assurance emprunteur et notamment en faveur des assurés. Le groupe a pris des mesures par rapport à cette loi.
Afin de respecter l'esprit de la loi, MetLife a explicité dans ses conditions générales que les maladies antérieures non déclarées sont désormais couvertes pour les assurés du segment Lemoine, tout en maintenant à l'identique le produit, que ce soit sur les garanties, niveaux de franchise et exclusions.
Au-delà de la loi Lemoine, la compagnie a d'ailleurs saisi cette opportunité pour améliorer l'ensemble de ses conditions générales avec des explications les plus claires possibles pour ses clients.
MetLife annonce même une baisse substantielle sur ses tarifs à partir de mi-janvier sur le segment Lemoine, avec une diminution allant jusqu'à 24% pour les moins de 35 ans, pour la plupart primo-accédants.
MetLife a pu aussi mettre en place très facilement le droit à l'oubli qui est passé de dix à cinq ans, en particulier pour les pathologies lourdes telles que le cancer ou l'hépatite C.
Pour cela, la compagnie a naturellement formé ses équipes dès l'annonce de la loi pour l'appliquer dès la date requise.
Au-delà du droit à l'oubli, l'un des objectifs de MetLife est de faire en sorte qu'une maladie soit le moins possible un frein au projet immobilier d'un client.